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Un rabbin du douzième siècle a prédit la fin des temps: l'ère messianique commencerait dans le dernier Jubilé entre 1967 et 2017 !

N’oubliez pas qu’en Israël, le machia’h (messie qu’attend le peuple juif) est au “coin de la rue” pour une majorité de la population, comme aime à le répéter Rav Ron Chaya par exemple ; Cette vision apocalyptique imminente du peuple juif impacte fortement le reste du monde, car j’ai découvert qu’une majorité de personnes issue de cette communauté étaient à la base des prédictions apocalyptiques que l’on voit ici et là , il y a une corrélation directe, et donc maintes prédictions sur le sujet de la fin des temps ressortent en ce moment : je ferai un long papier sur le sujet …. Revue de presse 2013-2014 Z@laresistance 

 

 

Un rabbin du douzième siècle a prédit l’avenir d’Israël. Maintenant, ses prophéties concernant le retour du Messie sont étudiées.

 

Judah Ben Samuel était un rabbin allemand légendaire et prolifique du douzième siècle qui a fait quelques prédictions étonnantes et spécifiques concernant l’avenir de Jérusalem et d’Israël qui se sont réalisées.

Judah Ben Samuel, également connu sous le nom de Judah he-Hassid (Juda le Pieux), a vécu et travaillé de la fin du douzième siècle jusqu’au début du treizième siècle, à Regensburg (Ratisbonne), et a été l’auteur d’un certain nombre de livres en langue allemande.

Ludwig Schneider, du magazine Israël Today, a traduit certains de ses travaux au cours des dernières années, y compris « Le Livre du Pieux – Sefer Hassidim » et le « Livre des calculs – Sefer Gematriyot ».

Après les croisades chrétiennes en Terre Sainte, entre 1096 et 1270, une correspondance régulière s’est développée entre les Juifs en Terre Sainte et les Chrétien de l’Occident. Ainsi, par exemple, les rabbins de Worms et de Regensburg en Allemagne savaient que les Ayyoubides de Saladin avaient dirigé en Terre Sainte depuis 1187.

A cette époque, Judah Ben Samuel a publié les résultats de ses calculs bibliques (Gematria) et ses observations astrologiques, et a résumé comme suit : « Lorsque les Ottomans (Turcs), qui étaient déjà une puissance à ne pas négliger sur le Bosphore à l’époque de Juda Ben Samuel, conquièrent Jérusalem, ils vont régner sur Jérusalem pendant huit jubilés. Ensuite, Jérusalem deviendra la terre interdite pendant un jubilé, puis, pendant le neuvième jubilé, la ville sera de nouveau la possession de la nation juive, ce qui signifierait le début de la fin des temps messianiques. »

Un jubilé dure 50 ans (Lévitique 25). Il s’agit de la cinquantième année après sept fois sept ans, l’année où chaque personne doit reprendre possession de sa terre. Les calculs de Judah Ben Samuel étaient purement théoriques ; Il n’y avait absolument aucun signe à cette époque de leurs accomplissements. Il n’était pas en mesure de faire l’expérience de leurs accomplissements, parce que ce n’est que seulement 300 ans après sa mort que la première de ses prévisions devait se réaliser.

Les Mamelouks, qui avaient régné sur Jérusalem depuis l’année 1250, ont été conquis en 1517 par les Turcs Ottomans. Les Ottomans y ont régné pendant huit jubilés (8 x 50=400 ans), c’est-à-dire qu’ils ont régné à Jérusalem pendant 400 ans. Exactement 400 ans plus tard, en 1917, les Turcs Ottomans ont été conquis par les Britanniques. La Société des Nations a conféré le mandat de la Terre Sainte et de Jérusalem aux mains des Britanniques. Ainsi, à partir de 1917, en vertu du droit international, Jérusalem était une terre interdite (no man’s land).

Puis, quand Israël s’est emparé de Jérusalem dans la guerre des Six Jours en 1967, exactement un jubilé (50 ans) après 1917, Jérusalem est redevenue la propriété des Juifs Israéliens une fois de plus. Ainsi, selon les prophéties de Judah Ben Samuel, la Fin des Temps messianiques commencèrent.

De nombreux chercheurs ont étudié et ont fait référence aux écrits de Judah Ben Samuel dans un effort pour comprendre comment il avait atteint ses conclusions. Parmi ceux se référant à Judah Ben Samuel, il y avait le Rabbi Isaac Ben Salomon Louria, un mystique traitant avec le monde messianique (Jérusalem, 1531-1572, Safed) ; Joseph Salomon Delmegido (1591 Candia – 1655 Prague), un astronome et mathématicien (« Mazref le-Chochma ») ; Azoulay I (1724-1806), un célèbre bibliographe ; Samuel David Luzzatto (1800-1865), un érudit de la Bible ; L’historien Heinrich Graetz (1817-1891) ; Et l’érudit de la Torah Jacob Epstein (1925-1993).

Le secret de la manière dont Juda le Pieux est arrivé à des prédictions tellement précises, au moins à voir avec les calculs réels, qu’avec le fait qu’il avait consacré sa vie à Dieu. Ses élèves, le Rabbin Isaac ben Moïse (Vienne), le Rabbin Baruch ben Samuel (Mayence) et le Rabbin Simcha (Speyer), témoignent que Judah Ben Samuel était un modèle d’abstinence, d’abnégation et attendait avec un ardent désir la venue du Messie.

 

Mais, pour résumer les prédictions étonnantes : En l’an 1217, ce rabbin érudit et pieux a prophétisé que les Turcs Ottomans règneraient sur la ville sainte de Jérusalem pendant huit jubilés. Maintenant, gardez à l’esprit qu’il a fait cette prédiction 300 ans avant que les Turcs Ottomans prennent le contrôle de Jérusalem en 1517. En effet, si 1217 et 1517 allaient être des années jubilaires comme le croyait Judah Ben Samuel, alors, sa prophétie était tout à fait exacte, car, exactement 400 ans après que les Turcs aient pris le contrôle de Jérusalem, ils furent chassés de la ville et de la terre sainte en 1917 par les forces alliées sous le commandement du général George Allenby, soit dit en passant pendant le Hanoukka.

Mais, cela devient encore plus intéressant.

Le rabbin a aussi prophétisé que, pendant le neuvième jubilé, la ville de Jérusalem serait une « terre interdite » (no man’s land). C’est exactement ce qui s’est passé de 1917 à 1967, en raison du fait que la Terre Sainte a été placée sous mandat britannique en 1917 par la Société des Nations et, littéralement, « n’appartenait » à aucune nation.

Même après la guerre d’indépendance d’Israël en 1948-49, Jérusalem était encore divisée par une bande de terre passant directement au cœur de la ville, avec la Jordanie contrôlant la partie orientale et Israël contrôlant la partie occidentale de la ville. Cette bande de terre était considérée et a même été appelée « no-man land » à la fois par les Israéliens et les Jordaniens.

Il a fallu attendre la guerre des Six Jours de 1967 pour que la totalité de la Cisjordanie et de la Terre Sainte soient conquises par l’armée israélienne et que la totalité de la ville de Jérusalem retourne entre les mains d’Israël. Donc, une fois de plus, une prophétie faite par un rabbin, 750 années auparavant, a été accomplie à la lettre.

Ce serait certainement significatif si les années 1917 et 1967 auraient été des années jubilaires, compte tenu de l’importance de ce qui s’est passé à Jérusalem pendant ces années. Mais, ça devient encore plus intéressant, parce que Judah Ben Samuel a aussi prophétisé que Jérusalem, pendant le dixième jubilé, serait sous le contrôle des Juifs et que la « fin des temps » messianiques allait commencer. S’il a raison, le dixième jubilé a commencé en 1967 et s’achèvera en 2017.

« La Bible doit être notre norme pour les prophéties et l’interprétation des événements prophétiques », a déclaré Joseph Farah, rédacteur en chef et fondateur de WorldNetDaily, après avoir pris connaissance des prévisions de Judah Ben Samuel dans Israël Today. « Mais, on ne peut ignorer ce que ce rabbin du douzième siècle a dit et écrit. C’est bien documenté. Et j’applaudis Israël Today pour avoir tout amené à la lumière. Les implications de ces prédictions sont stupéfiantes, c’est le moins que l’on puisse dire. »

 

http://www.wnd.com/2012/11/12th-century-rabbi-predicted-israels-future/

 

Traduit par PLEINSFEUX.ORG sur le site : http://resistanceauthentique.com/un-rabbin-du-douzieme-siecle-a-predit-la-fin-des-temps-en-2017/

Le Jeudi 24 janvier 2008 c’est la stupeur en Israël, Jésus serait le Messie ! Un rabbin influent d’Israël révèle le nom du Messie. Voici ce qui était rapporté par le journal Israël Today. « C’est un message du rabbin Kaduri à propos de la venue du Messie, durant la dernière année de sa vie sur terre transmis en Janvier 2006. Avant de nous quitter, cependant, il a apparemment laissé deux indices au sujet du Messie. Tout d’abord, que le Messie apparaîtrait après la mort d’Ariel Sharon,  (dans le coma de 2006 jusqu'à sa mort le 14 janv. 2014), et ensuite il a révélé le nom du Messie : Yehoshua (Jésus). Yitzhak Kaduri, rabbin influent  en Israël, a écrit le nom du Messie attendu par les juifs sur un papier, peu de temps avant sa mort à l’âge de 108 ans. Quelques mois avant son décès, il avait dit à ses disciples pour le Yom Kippur qu’il avait rencontré le Messie ; ceci est confirmé par son fils : « Mon père a rencontré le Messie lors d’une vision, et nous a dit qu’il viendrait bientôt ».

Prophétie du rabbin Kaduri : le Messie viendra t-il à la mort d’Ariel Sharon ?

Il semble que les derniers jours de sa vie, le Rabbin Yitzhak Kaduri parlait sans cesse de la venue du Messie et de la Rédemption par ce même Messie.
Il avait auparavent publié quelques portraits du Messie, qui ne sont pas sans rappeler Celui du Nouveau Testament. Quant au nom du Messie, il avait demandé à ce que le document qui le renferme soit gardé secret jusqu’à maintenant.
Car la nouvelle n’est pas vraiment fraîche : selon ce document, le Messie des juifs ne serait autre que… Jésus !
Voici ce qu’il écrivit sur sa brève note :
« A propos de l’abréviation du nom du Messie : il élèvera le peuple et prouvera que sa Parole et sa Loi sont valides (en Hébreu : Yarim Ha’Am Veyokhiakh Shedvaro Vetorato Omdim).
C’est ce que j’ai signé de ma main durant le mois de la miséricorde.
Yitzhak Kaduri ».
Les premières lettres de la phrase « Yarim Ha’Am Veyokhiakh Shedvaro Vetorato Omdim » donnent en hébreu le nom de Jésus : Yehoshua ou Yeshua.

 

 

 


La polémique fait désormais rage dans les milieux juifs orthodoxes, certains évoquant un faux, d’autres reconnaissent que la note est authentique.
« Le site Israeltoday précise que le Messie, tel que l’a appris le rabbin Kaduri, viendrait après la mort d’Ariel Sharon.

 

http://www.lemonde.fr/proche-orient/article/2014/01/01/l-etat-de-sante-d-ariel-sharon-s-aggrave_4341893_3218.html

http://lesamisdejesus.forumactif.org/t5062-le-messie-revele-au-rabin-kaduri

http://www.neotrouve.com/?p=4784

Déjà au début du 20ème siècle, il n’y avait pas plus célèbre dans le Transvaal occidental que Nicolaas van Rensburg. Les textes qui vont suivre s’inspirent des notes rédigées par Anna, sa propre fille.

Nikolaas van Rensburg, le plus célèbre le prophète d’Afrique du Sud

Qui était-il donc ?

Nikolaas van Rensburg est né en aout 1864 dans la ferme familiale Rietkuil,  situé près de Wolmaranstad en Afrique du Sud, dans le district de Potchefstrom. Il mourut à 62 ans en 1926. Comme de nombreux enfants de son époque, il alla à peine à l’école. Son père avait grandement besoin de lui à la ferme, notamment comme berger bovins. S’il sut lire et écrire, ce fut grâce à sa mère, qui l’instruisit à l’aide d’un seul ouvrage, la Bible. Durant toute sa vie, il ne portera aucun intérêt aux autres livres ou journaux, car disait-il," ils étaient des choses du monde qui ne pouvaient pas l’améliorer spirituellement." (A lire dans le même esprit, le conte philosophique « l’argent n’est pas tout »).  Tout jeune, il était perçu comme «différent», timide et réservé.  Il ne prenait jamais part aux espiègleries de ses camarades.

Sa mère, Anna Catharina van Rensburg, était une personne calme, sensible, mais ayant la voix douce d’une femme ayant souffert et de mauvaise santé. Nicolaas semblait avoir hérité de sa fragilité. Il garda jusqu’à sa mort, un lien très fort avec elle. Et comme elle, il n’aimait pas la violence. Il ne pouvait même pas supporter qu’un animal soit tué devant lui. On se demande encore comment avait-il pu participer jusqu’à la fin, à la guerre des  Boers contre les anglais. D’autant plus qu’il en prévoyait une fin désastreuse pour son camp et qu’il ne tenait pas à porter une arme à feu.

C’est vers l’âge de 7 ans, que sa mère remarqua que son fils avait des dons de prophétie.

Son air triste après certaines visions, la titillait de curiosité. Alors il la regardait de ses yeux bleus profonds et pénétrants mais sans ouvrir la bouche, ce qui lui donnait envie de l’embrasser. Il semblait regarder les gens en lisant à travers eux.  À 16 ans, il  participa à une expédition du gouvernement contre le chef de tribu rebelle Mapog. Vers l’âge de 20 ans, portant un intérêt médiocre à l’agriculture, il devint l’un des responsables de son église tout en se mariant avec Anna Sophia Kruger en 1884. A 30 ans, les agriculteurs voisins l’appelaient l’oncle. Un terme de respect largement utilisé à l’époque par les Afrikaners. Puis plus tard « Siener » (le voyant=terme employé par le profane).

Les Boers étaient les descendants des premiers colons d’origine néerlandaise, allemande et française, arrivés en Afrique du Sud aux XVIIe et XVIIIe siècles. Le terme de Boer (fermier en néerlandais) laissera au XXe la place à celui d’Afrikaner pour désigner l’ensemble de cette communauté blanche d’Afrique du Sud. 

 

 

 

 

              En ce qui concerne donc ce prophète, il a prédit un certain nombre d’évènements qui se sont avérés justes, mais c’est surtout  après leur réalisation que l’interprétation a été vraiment vérifiée. C’est pourquoi j’aimerai insister sur le fait qu’il faut être très prudent sur la façon dont certains traducteurs- ne connaissant rien aux écritures- ont donné leur propre interprétation des visions et prophéties du prophète Nikolaas Van Rensburg. En effet, les interprétations des prophéties non réalisées de la part de ces intervenants ne sont pas toujours conformes avec les prophéties de la Bible notamment celles qui concernent la fin des temps avec la troisième guerre mondiale, qui certes  aura bien lieu, mais non pas de la façon décrites par eux. Ce qui apparaît ici, c’est que le prophète ne doit être  remis en cause dans son ministère puisque  ses prédictions se sont réalisées. La Bible dit que le meilleur moyen pour reconnaître un prophète  venant de Dieu, c’est  encore la  preuve de l’accomplissement de sa prophétie : « Quand ces choses arriveront,-et voici, elles arrivent !-ils sauront qu'il y avait un prophète au milieu d'eux » (Ez. 33.33). 

                   La prophétie étant réalisée,  le prophète Van de Rensburg  n’est point  à remettre en cause, mais  il n’en est pas de même des interprètes pour les prophéties qui ne sont pas encore accomplies dont il reste encore à confirmer le sens  de leur interprétation. En cela, il est très important de comprendre que la prophétie ne doit pas faire l’objet d’une interprétation subjective et particulière, car l’interprète est un don  ou un ministère de Dieu au même titre que le don de prophète, que l’un ne peut s’expliquer sans l’autre. Ce que je peux affirmer ici concernant les interprétations sur internet des différents sites concernant le déroulement de la  troisième guerre mondiale de la prophétie de Nikolaas Van Rensburg sont totalement contraire aux prophéties bibliques, et qui tendent donc à prouver que les interprètes eux sont des faux, contrairement au prophète qui semble être un vrai.

 

Pour en venir donc à la prédiction de Nikolaas Van Rensburg, nous relèverons celle qui nous intéresse pour notre sujet, savoir le président noir qui après sa mort doit conduire le monde dans de grands troubles. La mort de Nelson Mandela est le signal de départ, la mort du premier président noir élu en Afrique du Sud précédera de grands bouleversements dans le monde, nous dit le prophète.

             Ce qui est remarquable -et c’est  en cela que j’aimerai attirer l’attention du lecteur - la prophétie du prophète Nikolaas Van Rensburg concernant la mort de Nelson Mandela le 5 décembre 2013 est en tout point concordant avec la prophétie du Rabbin de Y. Kaduri qui concerne la mort de la mort d’Ariel Sharon. Deux personnalités spirituelles très considérées dans leur milieu respectif prophétisent sur la mort de deux hommes  d’état connus mondialement  qui ont lieu à seulement quelques jours d’intervalles, et portant sur le même signe de la fin des temps : le déclenchement d’un grand changement dans notre monde.

 

 

 

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